1. Définition

Cette pathologie s’agit d’une inflammation des sinus à cause de la présence d’un micro-organisme étranger. On peut distinguer plusieurs sinus, à savoir frontaux, maxillaires, ethmoïdes et sphénoïdaux.

Pour être plus clair, la sinusite est une inflammation de la muqueuse qui tapisse les sinus, autrement dit les cavités creusées se trouvant à l’intérieur des os de la face. Que soit la sinusite virale ou bactérienne, cette infection peut se présenter de manière aiguë, subaiguë ou chronique.

2. La durée d’une sinusite

En général une sinusite virale peut durer entre 3 et 7 jours. Avec un médicament adapté pour calmer les symptômes, la pathologie disparaît toute seule.

En ce qui concerne la sinusite aiguë, les symptômes disparaissent en moins de 2 semaines. Si la maladie dure plus de 3 mois, alors elle sera classée comme une sinusite chronique.

3. La contagiosité

La contagiosité de la maladie dépend du type de sinusites. Si on a affaire à une pathologie d’origine virale, alors celle-ci est vraiment contagieuse.

Par contre, les sinusites d’origines bactériennes ne sont pas contagieuses à moins qu’il y ait un contact direct avec des sécrétions.

4. Les causes

L’origine des sinusites est généralement attribuée aux virus ou bactéries envahissant et irritant la muqueuse. Cette pathologie peut concerner uniquement un seul sinus dans le cas d’une infection ponctuelle. Ceci peut toucher le sinus maxillaire, frontal, ethmoïdal ou sphénoïdal.

Mais dans certains cas, les deux sinus peuvent aussi être touchés.

5. Les symptômes

La plupart du temps, les sinusites se manifestent par un écoulement clair ou purulent, de la fièvre ainsi que des maux de tête situés généralement au niveau des sinus atteints.

Pour une sinusite aiguë, ce sont les sinus maxillaires qui sont souvent touchés. En effet, il est rare de voir le sinus frontal, ethmoïdal ou sphénoïdal infecté par les bactéries ou les virus. Comme symptômes fréquents, il y a une congestion nasale avec un écoulement clair ou purulent, une douleur localisée au niveau des sinus et derrière les pommettes ainsi que de maux de tête diffus.

Quant aux sinusites chroniques, les causes peuvent provenir d’une allergie aux acariens ou aux pollens par exemple. Et ce type de sinusite peut se surinfecter et se transformer en une forme aiguë.

6. Les traitements possibles

Pour une sinusite virale, des médicaments comme du paracétamol sont suffisants pour atténuer les symptômes.

Si vous faites face à une sinusite bactérienne, alors des antibiotiques peuvent être nécessaires pour éliminer les symptômes.

Les huiles essentielles et certaines plantes sont de bonnes alliées pour lutter contre la sinusite. Parmi les plantes que vous pourrez utiliser, on peut retrouver l’eucalyptus, le pin sylvestre ainsi que l’échinacée. Toutefois, il faut faire attention. Dans la mesure du possible, prenez l’avis de votre médecin ou pharmacien avant un quelconque traitement phytothérapique.

L’ail

Si vous avez de l’ail dans votre cuisine et que vous êtes en proie à un mal de dents, sachez que cet ingrédient peut quelque peu soulager votre douleur. En effet, l’ail est connu pour avoir des vertus anti-inflammatoires et anesthésiantes. Pour l’utiliser, il suffit de prendre deux gousses et de les broyer pour en faire une pâte. Cette dernière sera à appliquer pendant quelques minutes sur la dent endolorie avant d’être recrachée après 5 minutes. Cette méthode est toutefois à éviter si vos muqueuses sont fragiles ou si vous êtes sensible à l’ail.

Le thé noir

Étant donné ses nombreuses vertus, le thé noir fait partie des ingrédients qui devraient avoir une place dans votre cuisine. Il favorise une meilleure digestion, réduit le cholestérol et améliore aussi l’hygiène dentaire. Il peut ainsi vous soulager en cas de douleur dentaire. Pour cela, prenez un sachet de thé noir et imbibez-le d’eau chaude. Retirez l’excédent d’eau et appliquez le thé sur la dent douloureuse ainsi que sur la gencive. Grâce aux tanins astringents présents dans le thé, les tissus de la gencive se resserreront, réduisant ainsi la sensation de douleur. Laissez le thé appliqué pendant 5 minutes avant de le retirer. Vous pouvez répéter plusieurs fois cette opération en cours de journée.

Les autres solutions

Si vous n’avez aucun des ingrédients cités plus haut, vous pouvez tenter de calmer la douleur en brossant régulièrement la dent avec une brosse douce. Le brossage permet de réduire la formation de bactéries et empêche ainsi l’inflammation de gagner en ampleur. Vous pouvez aussi prendre un bain de bouche à base de sel et de bicarbonate de sodium pour vous rincer la bouche. Il faudra toutefois se limiter à deux bains par jour.

L’acupuncture : c’est quoi ?

Si vous êtes vraiment novice dans le domaine, sachez que l’acupuncture fait partie des pratiques de la médecine chinoise. Elle consiste à poser des aiguilles sur des zones précises du corps, sur les méridiens. Cette pratique peut soigner les maux de tête et les lombalgies chroniques. Elle soulage également les nausées pendant la grossesse, les migraines et elle peut réduire le stress. Des études scientifiques démontrent son efficacité sur le corps, sur le fait qu’elle améliore sensiblement la santé. Évidemment, si vous n’aimez pas les piqûres, vous pourriez avoir quelques appréhensions sur le sujet. Sachez cependant qu’en réalité, les piqûres se font à peine sentir.

Pourquoi ne pas essayer ?

L’acupuncture ne présente aucun danger apparent sur la santé, alors, essayez, vous ne risquez rien de particulier. Si vous souhaitez plus d’informations, Internet regorge de sites que vous pourrez consulter, cependant, il est préférable de se renseigner auprès d’un professionnel de la santé. L’acupuncture donne autant de résultats que les autres pratiques de la médecine conventionnelle. Mais elle est très efficace pour guérir les migraines, les maux de tête et parfois des pathologies plus importantes. En tout cas, cette pratique chinoise ne pourra pas vous faire de mal, au contraire. Si vous craignez d’éventuelles conséquences néfastes, parlez-en avec votre médecin avant de demander un rendez-vous pour une séance d’acupuncture.

Définition du scanner

Cet examen est réalisé dans le but d’obtenir des résultats plus précis concernant une échographie ou encore une radiographie. Il permet, en effet, de mieux voir l’emplacement et l’ampleur de l’affection au niveau d’un organe. Pour ce faire, le scanner utilise des rayons X à faible dose. Il s’agit d’un examen radiologique qui reconstitue des images de notre corps sous différentes dimensions : en tranches particulièrement fines. Il est indolore et les images obtenues sont analysées sur un ordinateur. Il est souvent nécessaire de faire une injection sur le patient pour assurer le bon déroulement du scanner. On lui injecte, en général, un produit à base d’iode. C’est une substance qui rend certaines zones de notre corps plus opaques et plus visibles pendant la réalisation de l’examen.
Par ailleurs, un scanner est souvent utile pour étudier certains organes de notre corps à savoir le cerveau, l’abdomen ou les os. Il permet de détecter des anomalies que certains examens n’ont pas pu confirmer. Grâce au scanner, le médecin peut voir clairement la présence de tumeurs, de ganglions ou de kystes sur un organe ou un tissu donné. Cet examen permet aussi de détecter certaines infections ou une hémorragie, de même qu’il est capable de déterminer le trajet d’un vaisseau sanguin. En outre, pour passer un scanner, vous devez présenter une ordonnance du médecin. En cas de grossesse, il est obligatoire d’informer le médecin sachant que ce type d’examen est généralement contre-indiqué. Si vous souffrez d’allergies, parlez-en à votre interlocuteur. Certains patients font, en effet, des réactions allergiques à l’injection à base d’iode. Si vous êtes sous traitement, il faut informer le médecin afin qu’il puisse décider l’arrêt provisoire de la consommation de certains médicaments quelques jours avant le scanner (ou pendant l’examen). Assurez-vous de bien vous préparer avant de faire un scanner. Veuillez surtout vous conformer aux consignes des professionnels de santé selon le type de scanner à faire.

Comment se déroule un scanner ?

Pendant l’examen, le patient est toujours en contact avec le personnel médical qui s’installe derrière une vitre de protection contre les rayons X. La communication entre les deux parties s’effectue via un micro. Cela permet à l’équipe médicale d’intervenir à tout moment. Pendant l’examen, vous ne devez pas bouger et durant quelques secondes, il faudra bloquer votre respiration. L’objectif est tout simplement d’avoir de bons clichés. Par ailleurs, ce type d’examen peut durer une bonne quinzaine de minutes. Il compte quelques étapes dont l’installation du patient sur le lit destiné à le recevoir : les bras peuvent être posés différemment en fonction de la zone à scanner (alignés à votre corps ou bien posés derrière la tête). Ensuite, la zone à étudier est placée dans un large anneau composé deux extrémités ouvrantes. C’est dans cet anneau que se trouve l’émetteur-récepteur des rayons X tournant autour de vous pour prendre les clichés : un tour, une image. Les images sont ensuite enregistrées par le médecin qui réalise l’examen : un médecin radiologue. Quand l’examen est terminé, la perfusion est enlevée avant que vous vous rhabillez.

Bien s’informer sur la situation

Pour constater s’il y a une rupture générale de stock de médicaments, il faut bien s’informer auprès de plusieurs pharmacies. En effet, la rupture peut ne concerner qu’une seule pharmacie et les autres peuvent très bien en disposer. Pour élargir votre recherche et le faire rapidement, vous pouvez consulter le site de l’agence nationale de sécurité de médicaments et de produits de santé ou l’ANSM, qui prévoit généralement une liste exhaustive des médicaments en rupture de stock.
Les problèmes d’approvisionnements peuvent aussi être temporaires, vous devez donc bien vous informer auprès des pharmacies s’il ne s’agit que d’une rupture de stock temporaire ou durable. Ce qui vous permet d’appréhender d’autres alternatives.

Miser sur la solution digitale

Avec l’essor de la digitalisation, les recherches sont plus faciles à effectuer même dans le domaine médical. Misez donc sur les pharmacies en ligne et les plateformes de vente de produits pharmaceutiques, qui sont rarement en rupture de stock et qui livrent généralement leur produit en un temps record. Les sites médicaux et les réseaux sociaux peuvent aussi vous servir pour trouver rapidement tous les médicaments dont vous avez besoin.
Même si les médicaments ne sont pas disponibles dans votre pays, vous pouvez très bien passer des commandes à l’étranger, grâce à des sites médicaux ou à des amis en voyage. Dans ce cas, il suffit juste d’envoyer par voie numérique l’ordonnance et recevoir dans les plus brefs délais les médicaments.

Trouver des médicaments équivalents

Si après avoir tenté toutes les solutions disponibles, vous n’arrivez pas à vous procurer des médicaments nécessaires, l’unique alternative est les médicaments de substitution. Il ne faut pas cependant faire de l’auto-médicamentation, mieux vaut demander à votre médecin ou au pharmacien sur les possibilités de médicament équivalents. Ces derniers devraient s’adapter à votre état de santé globale et ne pas être en contradiction avec les autres médicaments nécessaires à votre traitement. En effet, certains médicaments ne peuvent pas être combinés au risque de provoquer des effets indésirables et ayant des impacts négatifs graves sur ka qualité de vie. L’intervention des professionnels de la santé est donc de rigueur pour assurer un traitement efficace.

Comprendre l’infection

L’infection urinaire peut prendre trois formes. La plus courante notamment chez les femmes est la cystite. Elle est provoquée par une migration des bactéries présentes dans les intestins vers l’urètre. Celles-ci remontent ensuite jusqu’à la vessie où elles commencent à se multiplier grâce à l’environnement humide et riche en gaz. Leur présence perturbe la circulation de l’urine ce qui se manifeste par des douleurs et une sensation de brûlure. Si vous présentez ces symptômes, achetez le médicament Macrobid pour traiter immédiatement l’infection urinaire. Ce médicament peut être obtenu sans ordonnance. L’autre forme assez récurrente quant à elle correspond à l’urétrite. Elle est causée par des agents responsables d’IST comme la chlamydia et le gonocoque.

Une bonne hygiène de vie

Comme pour toutes les infections bactériennes, la meilleure solution pour éviter le problème consiste à améliorer son hygiène de vie. Cela se traduit par un nettoyage quotidien des régions anales et vulvaires. Attention, il n’est pas nécessaire de les frotter vigoureusement avec un gant imbibé de produit. À noter d’ailleurs qu’il est recommandé de limiter l’usage de soins déodorants. Ils peuvent en effet irriter la muqueuse de l’urètre et favorisent la fixation des bactéries. Pour un confort optimal, privilégiez les formules avec un pH neutre et qui ne contiennent ni parfum ni paraben.

Les réflexes à adopter

Lorsque vous vous essuyez après être allée aux toilettes, faites-le toujours de l’avant vers l’arrière. Cela empêchera la migration des bactéries intestinales vers la vulve. Faites également attention lors de vos rapports sexuels. Dans l’idéal, utilisez des préservatifs lubrifiés et du gel surtout en cas de sécheresse intime. À la fin de vos ébats, pensez à uriner pour évacuer rapidement les agents à risque. Enfin, il est recommandé de ne jamais se retenir. Lorsque vous ressentez le besoin d’uriner, soulagez-vous au plus vite.

Les types d’activités

Dans le cadre de ces accompagnements, les activités seront surtout de type non médicamenteux. Ils peuvent comprendre des activités qui incitent l’amélioration de la qualité de vie. Ces activités comprendront entre autres, des accompagnements dans la rééducation pour améliorer la faculté d’orientation ainsi que la stimulation des sens. Les patients peuvent aussi faire des activités qui améliorent les fonctions cognitives. Elles intègrent des interventions comme, la rééducation, le travail pour la validation des fonctions cognitives ainsi que leur stimulation. Ces activités s’accompagneront ainsi, à travers des travaux dans des ateliers mémoires. Il y aussi les activités qui portent sur des travaux pour améliorer la prise en charge autonome du patient. Il faudra ainsi, stimuler ces capacités à travers des activités physiques et des séances d’ergothérapie. Et enfin, les activités qui sensibilisent les fonctions communicatives, à travers des stimulations orthophoniques.

Les activités à visées comportementales

Ce type d’activités aura l’objectif de traiter des troubles pathologiques. Cependant, dans ces interventions, le traitement ne doit pas avoir recours à l’utilisation de médicaments, mais à des activités plus ludiques et des pratiques physiques telles que, la danse, la musique et les petits exercices physiques. Les activités peuvent aussi concerner l’intervention de la parapharmacie à travers des traitements en aromathérapie, l’accompagnement à travers l’empathie, la massothérapie, la thérapie avec les animaux comme la muzzoothérapie (qui donne de très bons résultats auprès des résidents pris en charge au sein de la structure), la luminothérapie, la stimulation avec des vidéos pour l’aide à la mémoire. Malgré que ces activités soient assez limitées dans leurs résultats dans le temps, il est essentiel que l’accompagnement se fasse par des professionnels formés pour assurer l’effectivité et qu’elles fassent l’objet d’un suivi et d’une évaluation permanente.

Envergure de la médecine physique et de réadaptation

Bien qu’elle soit une spécialité méconnue, la médecine physique et de réadaptation aide des milliers de personnes tous les ans à retrouver leur mobilité et du coup, à retrouver leur indépendance pour se réapproprier leur vie. Ou bien, elle aide à s’adapter et à vivre au mieux son handicap. Les spécialistes en médecine physique et de réadaptation coopèrent avec d’autres professionnels, comme les kinésithérapeutes, des experts en orthophonie ou en ergothérapie etc.

Le rôle de la médecine physique et de réadaptation

En médecine physique et de réadaptation, les professionnels s’attachent à aider les patients à s’adapter, dans les meilleures conditions qui soient, à leur handicap, à leur absence de mobilité ou à leur mobilité réduite. La première approche des médecins consiste à faire parler le patient et de le laisser exprimer son ressenti, ce qui le gène le plus dans son handicap. Puis, ils s’attellent à déterminer précisément les limites du patient et évaluent les impacts de ce handicap dans sa vie de famille, en société ou dans son travail. Ils proposent ensuite des méthodes pour faire les choses autrement – et mieux ou plus facilement – ou des aides techniques au besoin.